tipio
Nombre de messages : 67 Age : 31 Classe/divinité choisie/... : feca, énu, eca, xélor. Alignement : mercenaire ( stere ) Date d'inscription : 12/09/2007
| Sujet: Tipio percenuit, L'histoire d'un vie. Mar 21 Oct - 23:09 | |
| Le jeune disciple de féca s'approche de la feuille spécialement choisie pour cette événement. il choisi la plume de tofu noire spéciale aux grandes occasions, et commence à écrire.
Alors comme sa vous voulez connaitre ma vie ? MMhhh je ne sais pas si c'est une très bonne chose ... Pour vous évidement ! Que dire ? je suis né un 19 flovor de l'année 616 dans la petite ile de watalkala, appelée à tord par les aventuriés, l'ile des wabbits. Je vais d'ailleurs commencer par là. En effet, un peu de culture supplémentaire ne vous feras pas de mal. Il fut un temps, pas si lointain d'ailleurs, où l'ile des wabbit n'était pas encore découverte par des tas d'aventuriers venus chercher, selon une rumeur plus ou moins fondée, un précieux dofus. Et non, cette ile appartenait avant tout à une très grande famille et dont le nom est depuis longtemps, perdu dans les méandres des mémoires les plus anciennes qui la partageait avec le lenalds. Comme vous l'aurez deviné, je fus l'un des derniers ( pour ne pas die le dernier ) des enfant de cette mystérieuse famille. A l'age très peu avancé de 3 ans, je fut emporter un soir, par les merveilleuse bêtes qui partagaient cette ile magnifique avec nous : les wabbits. J'ai grandis avec eux jusqu'à l'age de 8 ans, age ou je commençais à développer un talent certain pour me protéger du mystérieux liquide qu'ils me donnait avec les cawotes cultivées sur l'ile. Une nuit, les wabbit ont encore changé. Certains se sont mis à muter, d'autre sont devenus extrêmement agressifs ... cette nuit là, je me sauvais en courant, sans regarder derrière moi, des bribdes de souvenirs me revenant par moment, les larmes roulants sur mes joues et se reflétant au clair de lune. Et il advint ce qu'il devait advenir, je me retrouva dedans le camp de mon enfance .... mais rien n'était comme avant. Le camp était dévasté, les tentes, éventrées ... mais il semblait que cela faisait des années qu'il était dans cet état. Pleurant de plus belle, le petit garçon s'endort, dans la tente qui a bercé les trois premiers mois de sa vie, se roulant en boule, toujours un peu plus.
Cette nuit là, ma mère, que je soupçonne depuis d'avoir été une disciple d'ecaflip, m'apparut en rêves. Elle me dit de partir de cette île, de partir loin vers l'ouest, et de trouver une ville du nom d'astrub, la-bas, je pourrais commencer mon parcours, et continuer vers mon destin, mais en me déplaçant seulement de nuit. Je ne su jamais si ce n'était qu'un rêve d'enfant perturbé, ou si se fut la réalité, il n'empêche que le lendemain matin, Un petit ongle en forme de griffe gisait à mon côté, et un petit chacha se frottait contre moi. Un compagnon de fortune, et un talisman porte bonheur, que nous faudrait-il de plus ? je partais à la nuit tombée. Après 3 jours de marche, j'arrivais en vu d'une plage. et là, surprise ... Un bateau m'attendais, une voile un peu déchiré et ancienne, Mais toujours utile, de larges bouts la maintenant à la coque. encore une nuit de voyage, le bateau vaugant au grès des courant et de mes coup de gouvernail. Là aussi, je me rend compte de la chance que j'ai eu de prendre toujours le bon cap car, en début de matinée, j'arrivai en vu d'un bon immense, fait de long et grands bambous.
Après avoir accosté à la terre ferme, je fut forcé de constater que j'avais faim. je n'avais pas manger depuis un petit moment, et mon estomac commençait à me le faire ressentir.Après un peu de marche, je me retrouvais dans ce nouveau monde, cette nouvelle épreuve qu'était astrub. Après m'être imaginé cette citée pendant environs 4 jours, je fut obliger d'avouer que mes rêves se brisaient. Astrub était sale, bruyante, et remplie de beaucoup trop de gens. Au bout de quelques jours, à manger des restes et à déambuler dans les ruelles, je fut recueilli par un vieil enutrof du nom de crocky, que j'appellerai plus tard "papy" ou "grand-père", car il m'a tout appris. Il m'a emmené dans la petite ville flottante de sufokia, et m'a enseigné d'abord les rudiments du combat, puis, après avoir compris que je ne serais jamais un de ces gros tas de muscle sans cervelle qu'il appelait "iop", il m'enseigna l'art des boucliers, et, à 15 ans, après 7 ans de durs entrainement, m'offrit mon premier et magnifique bâton. Je fut malheureusement obligé de le quitté peut après, ayant compris que de botte bouftou achetées avec toutes mes économies ( à plusieurs milliers de kamas), était ma foie une belle escroquerie. J'atteins donc bientôt mon cercle 70 avec celui-ci, un nouveau monde s'ouvrait à moi J'arrivais désormais à faire des attaque sur de grande zones, et quel soulagement de se sentir enfin puissants ! C'est à se moment là que je décidais de me mettre en route vers une nouvelle quête. | |
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